
Le Cocon de Koala
Véronique Duong, Infirmière en Néonatologie et Accompagnante en périnatalité et parentalité à Bourges dans le Cher (18)

Mon histoire
Je m'appelle Véronique Duong, j'ai 34 ans et deux merveilleux enfants de 7 ans et 5 ans.
Infirmière depuis plus de 11 ans auprès des bébés et des enfants, j’ai à cœur de vous proposer un accompagnement professionnel et personnalisé empreint de douceur, de tendresse et de bienveillance, centré sur le partage et le bien-être avec votre bébé.
Je me déplace à votre domicile, en toute neutralité et discrétion. Je prends le temps de vous écouter, vous conseiller et vous soutenir avec bienveillance.
J’accorde une grande importance à la relation parent-enfant ainsi qu’au soutien à la parentalité.
Je vous mets à disposition des outils pour vous permettre d’apporter du bien-être à votre bébé renforçant ainsi le lien d’attachement et par la même occasion, le sentiment de compétence et de confiance en vous.
Je vous apporte un instant de partage, une bulle hors du temps…
Les conseils que je peux vous apporter au quotidien n’empêchent pas une consultation médicale.

"La santé n'est pas seulement une absence de maladie ou d'infirmité, c'est un état de complet bien-être physique, mental et social qui constitue l'un des droits fondamentaux de tout être humain".
Définition de la santé par L'OMS
Les semaines qui suivent la naissance sont comme la traversée d'un désert.
Désert peuplé de monstres : les sensations nouvelles qui du dedans montent à l'assaut du corps de l'enfant.
Après la chaleur du sein maternel, après la folle étreinte qu'est la naissance, la solitude glacée du berceau.
Et puis surgit un fauve, la faim, qui mord le bébé aux entrailles.
Ce qui affole le malheureux enfant ce n'est pas la cruauté de la blessure. C'est sa nouveauté. Et cette mort du monde à l'entour qui donne à l'ogre des proportions immenses. Comment calmer une telle angoisse ?
Nourrir l'enfant ?
Oui.
Mais pas seulement de lait.
Il faut le prendre dans les bras.
Il faut le caresser, le bercer. Et le masser.
Ce petit, il faut parler à sa peau, il faut parler à son dos qui a soif et faim autant que son ventre.
Dans les pays qui ont conservé le sens profond des choses les femmes savent encore tout cela. Elles ont appris de leur mère, elles enseigneront à leurs filles, cet art profond, simple et très ancien qui aide l'enfant à accepter le monde et le fait sourire à la vie.
Frédérick Leboyer



